Loin des débats sur le « Made in France », les plans de relance etc. J’aimerai vous faire part d’une anecdote … une histoire vraie arrivée à une amie.
Travaillant dans une grande banque française, Nadine est cadre et gagne bien sa vie. Son entreprise se situe dans les quartiers les plus « sympathiques de Paris » et pourtant …
La crise sévit, son entreprise, une grande banque d’investissement est directement touchée et fait régulièrement la Une des médias. Les affaires vont mal dans le secteur mais il s’agit d’un grand groupe.
Ce lundi, un dossier urgent, pas le temps d’aller déjeuner à la cantine, Nadine va prendre un sandwich …
Ce sera un «crudités thons », une boisson et un dessert, 9,30€, parfait ! Nadine a un ticket restaurant de 8€, elle complètera.
Le vendeur prend d’abord le chèque déjeuner, regardant rapidement l’entreprise émettrice, la banque XXX, le vendeur l’air compatissant annonce à Nadine : « Laissez Madame, le reste c’est pour moi, je sais qu’en ce moment pour vous, c’est difficile, vraiment difficile ».
Nadine surprise et désemparée remercie le vendeur et retourne à son bureau.
Ma crise bien aimée ne se lance pas encore dans les histoires « à la Père Castor », mais cette anecdote est marquante. Il y a encore quelques mois, banquier était un métier considéré par tous comme protégé, planqué et bien rémunéré.
La crise, en quelques mois, a effrité cette image.
Elle a effrité la conception que nous nous faisions du banquier mais bien plus grave encore, elle a effrité la relation qu’il existait entre les banques et ses clients.
Les banques doivent donc saisir cette opportunité pour redéfinir leurs relations avec la population, avec nous les Français … créer une relation durable !
Travaillant dans une grande banque française, Nadine est cadre et gagne bien sa vie. Son entreprise se situe dans les quartiers les plus « sympathiques de Paris » et pourtant …
La crise sévit, son entreprise, une grande banque d’investissement est directement touchée et fait régulièrement la Une des médias. Les affaires vont mal dans le secteur mais il s’agit d’un grand groupe.
Ce lundi, un dossier urgent, pas le temps d’aller déjeuner à la cantine, Nadine va prendre un sandwich …
Ce sera un «crudités thons », une boisson et un dessert, 9,30€, parfait ! Nadine a un ticket restaurant de 8€, elle complètera.
Le vendeur prend d’abord le chèque déjeuner, regardant rapidement l’entreprise émettrice, la banque XXX, le vendeur l’air compatissant annonce à Nadine : « Laissez Madame, le reste c’est pour moi, je sais qu’en ce moment pour vous, c’est difficile, vraiment difficile ».
Nadine surprise et désemparée remercie le vendeur et retourne à son bureau.
Ma crise bien aimée ne se lance pas encore dans les histoires « à la Père Castor », mais cette anecdote est marquante. Il y a encore quelques mois, banquier était un métier considéré par tous comme protégé, planqué et bien rémunéré.
La crise, en quelques mois, a effrité cette image.
Elle a effrité la conception que nous nous faisions du banquier mais bien plus grave encore, elle a effrité la relation qu’il existait entre les banques et ses clients.
Les banques doivent donc saisir cette opportunité pour redéfinir leurs relations avec la population, avec nous les Français … créer une relation durable !
Jean Paul
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