vendredi 10 avril 2009

Finance islamique : une réponse alternative aux petits soucis des PME françaises

La finance islamique va concurrencer à court terme les crédits fournisseurs et à moyen terme les organismes de crédit. En refusant de ne pas en tenir compte, ces établissements traditionnels prennent un risque inacceptable.

Le produit répond à besoin clientèle : « j’ai besoin d’investir dans du matériel, alors, que mon banquier prenne 5% à la source ou que je donne l’équivalent en euro à la banque islamique une fois que j’aurais réalisé plus de CA grâce à cet achat, c’est pareil » (H.G – gérant d’un commerce à Paris).
Pourtant, les barons de la banque n’y croient pas : « ils n’ont pas le niveau et nos clients ne les prennent pas au sérieux » (N.H – un cabinet parisien).

Alors qu’en ces temps de crise, les entrepreneurs luttent pour leur survie, les intouchables n'y croient pas. Ceux qui l’anticipent suivent un Master à Strasbourg


Patrick Marchant

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