La phrase est choc, les termes sont forts ! Non, il ne s’agit pas d’une élucubration d’un membre fragile de Ma Crise Bien Aimée mais d’une phrase tirée du film de Michael Moore « Capitalism : a love story ».
Hier soir, invité par la Paramount, j’ai pu découvrir en avant-première (comme je vous en parlais dans mon post de la semaine dernière) le nouveau film de Michael Moore dont Marie annonçait la sortie il y a quelques mois.
Hier soir, invité par la Paramount, j’ai pu découvrir en avant-première (comme je vous en parlais dans mon post de la semaine dernière) le nouveau film de Michael Moore dont Marie annonçait la sortie il y a quelques mois.
Disons le tout de suite, le film est intéressant pour deux raisons :
A la sortie de la projection, j’étais pris d’un certain malaise. Le documentaire pose de nombreuses, trop nombreuses questions sans jamais apporter la moindre solution.
Comme à son habitude Michael Moore dénonce des vérités, des faits particuliers qu’il tourne habilement en vérité générale. Le public non-initié à l’actualité financière se verra trompé et les connaisseurs traiteront le film d’amateurisme.
Avec « Capitalisme : a love story » Michael Moore revient à son premier amour, la dénonciation du système économique américain, thème de son premier film « Roger et Moi » (1989). Plus qu’une dénonciation, le réalisateur de « Bowling for Columbine » (2002) met le capitalisme en pièce mais mêle également théorie du complot, réseaux politique et économique, crise financière, plan de sauvetage … il en ressort une impression de brouillon. De trop nombreux sujets sont abordés avec une rigueur informative qui peut laisser pantoise. Le soutien indéfectible au Président Obama en est un exemple, Michael Moore l’introduit dans son film comme un réformateur providentiel pourtant l’actualité semble dresser un tableau plus contrasté du nouveau président américain.
Malgré tout le film est très plaisant, Michael Moore a su cadencer par la musique et les effets d’image un film qui traite d’un sujet complexe et très sérieux.
Je vous encourage donc à regarder ce film d’un œil critique et n’hésitez pas à laisser un commentaire sur le blog de MCBA.
Michael Moore's 'Capitalism: A Love Story' - Trailer HD [VO]
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- Une critique du capitalisme actuel et surtout de la finance mondiale
A la sortie de la projection, j’étais pris d’un certain malaise. Le documentaire pose de nombreuses, trop nombreuses questions sans jamais apporter la moindre solution.
Comme à son habitude Michael Moore dénonce des vérités, des faits particuliers qu’il tourne habilement en vérité générale. Le public non-initié à l’actualité financière se verra trompé et les connaisseurs traiteront le film d’amateurisme.
Avec « Capitalisme : a love story » Michael Moore revient à son premier amour, la dénonciation du système économique américain, thème de son premier film « Roger et Moi » (1989). Plus qu’une dénonciation, le réalisateur de « Bowling for Columbine » (2002) met le capitalisme en pièce mais mêle également théorie du complot, réseaux politique et économique, crise financière, plan de sauvetage … il en ressort une impression de brouillon. De trop nombreux sujets sont abordés avec une rigueur informative qui peut laisser pantoise. Le soutien indéfectible au Président Obama en est un exemple, Michael Moore l’introduit dans son film comme un réformateur providentiel pourtant l’actualité semble dresser un tableau plus contrasté du nouveau président américain.
Malgré tout le film est très plaisant, Michael Moore a su cadencer par la musique et les effets d’image un film qui traite d’un sujet complexe et très sérieux.
Je vous encourage donc à regarder ce film d’un œil critique et n’hésitez pas à laisser un commentaire sur le blog de MCBA.
Jean-Paul
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