Selon « des sources proches du dossier » (comme disent les journalistes…), le journal Libération risque de disparaître dans les prochaines semaines. La crise sévit encore !
Pourtant, au nom du pluralisme, l’Etat soutien encore financièrement la presse de manière directe et indirecte. L’humanité en est d’ailleurs le meilleur exemple.
Toute la question sera donc de savoir si l’Etat voudra sauver Libération comme il perfuse l’Humanité.
Je pense donc que l’occasion est venue de mettre sur la place publique le débat sur le rôle destructeur du syndicat du livre CGT, dernier bastion monopolistique français de l’après-guerre.
Pour ne pas sombrer dans la dépression, j’invite donc les journalistes de Libération à manger du chocolat (de Bayonne bien-sur !) et la CGT du Livre à laisser tomber en se disant qu’ils ont eu leur période de vache à lait…
Patrick Marchant
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