Les séquestrations de patrons font parler d’elles et pour cause ; depuis combien de temps n’avions-nous pas vu de telles actions, et surtout aussi nombreuses ?
Le Point décortique les clés d’un nouveau business.
Pour certains c’est le retour à la belle époque, au dialogue social musclé ; pour d’autres il est temps de « s’armer ».
Comment les entreprises s’arment-elles face à cette nouvelle menace ? Pour la plupart, elles font appel à des cabinets de consulting ou de formation.
Ces entreprises forment les équipes dirigeantes à la négociation en milieu très hostile, avec à l’appui les conseils d’anciens du GIGN, GIPN et autres services d’intervention de l’Etat.
Le directeur d’un de ses cabinets, Arnaud Dupui-Castérès, président du cabinet Vae Solis, donne ainsi quelques conseils simples :
1. Ne pas médiatiser la séquestration ;
2. Le séquestré ne doit pas tenter de tenir tête aux meneurs ;
3. Ne pas être responsable du dialogue avec les salariés, un médiateur externe doit être nommé ;
4. Disposer d’un kit de survie dans son bureau (trousse de toilette, linge de rechange, téléphone portable).
En dehors de ces formations qui surfent sur la vague de la peur des patrons, pouvons-nous réellement cautionner par le silence cette façon de faire entendre ses revendications ?
Le Point décortique les clés d’un nouveau business.
Pour certains c’est le retour à la belle époque, au dialogue social musclé ; pour d’autres il est temps de « s’armer ».
Comment les entreprises s’arment-elles face à cette nouvelle menace ? Pour la plupart, elles font appel à des cabinets de consulting ou de formation.
Ces entreprises forment les équipes dirigeantes à la négociation en milieu très hostile, avec à l’appui les conseils d’anciens du GIGN, GIPN et autres services d’intervention de l’Etat.
Le directeur d’un de ses cabinets, Arnaud Dupui-Castérès, président du cabinet Vae Solis, donne ainsi quelques conseils simples :
1. Ne pas médiatiser la séquestration ;
2. Le séquestré ne doit pas tenter de tenir tête aux meneurs ;
3. Ne pas être responsable du dialogue avec les salariés, un médiateur externe doit être nommé ;
4. Disposer d’un kit de survie dans son bureau (trousse de toilette, linge de rechange, téléphone portable).
En dehors de ces formations qui surfent sur la vague de la peur des patrons, pouvons-nous réellement cautionner par le silence cette façon de faire entendre ses revendications ?
Jean Paul
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